La pollution numérique, face cachée de la dématérialisation
Mémoire de master en ingénieur de gestion, défendu en 2020 à la Solvay Brussels School de l’ULB.
2020
Bruxelles : ULB - Solvay Brussels School
Si le système numérique mondial était un pays, il serait le troisième plus grand consommateur d’électricité au monde derrière la Chine et les États-Unis. Partant de ce constat (et de celui des limites des calculateurs d’impacts environnementaux actuels : imprécision, greenwashing….), Maxime Schurmans a établi les bases théoriques d’un calculateur innovant. Reposant sur la méthodologie de l’analyse de cycle de vie, celui-ci analyserait les impacts environnementaux de tout outil numérique depuis sa fabrication jusqu’à sa fin de vie. Conçu dans le but de sensibiliser le grand public sur sa consommation réelle d’électricité via PC et smartphone, il permettrait à chacun·e d’évaluer l’empreinte environnementale de son comportement numérique selon six critères : position géographique, type d’appareil et de connexion, action numérique prestée, recyclage (ou non), nombre d’années d’utilisation. Maxime Schurmans a également étudié en détail les pratiques des GAFAM et l’impact réel de leur colonne vertébrale : les centres de données.
> A télécharger : Mémoire Maxime Schurmans (PDF)
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