L’INDSEé 2e et 3e degrés - Bastogne
Lien avec la Fondation
Depuis 2011, les 2e et 3e degrés de l’Institut Notre-Dame Séminaire de Bastogne opèrent une transition vers une société durable. L’école organise des activités éducatives articulées autour du développement durable. Toute la communauté scolaire y est associée. Les exercices visant à sensibiliser les élèves n’ont cessé de s’intensifier, puisqu’à l’heure actuelle, une multitude de projets sont menés à bien dans les domaines de l’efficacité énergétique, du tri et du recyclage, de l’économie d’eau et de l’alimentation durable. L’INDSé contribue au bien-être et à la santé de ses élèves et de son personnel tout en œuvrant pour la viabilité de notre planète. L’école compte plus de 1100 élèves.
Agenda 21
Les projets et les activités de l’INDSé se fondent sur le principe 21 de la Déclaration de Rio : « Il faut mobiliser la créativité, les idéaux et le courage des jeunes du monde entier afin de forger un partenariat mondial de manière à assurer un développement durable et à garantir à chacun un avenir meilleur. » Le « groupe de pilotage Agenda 21 » de l’école, qui réunit les différents acteurs concernés, assure la coordination des actions et des projets. En décembre 2015, le label « Agenda 21 scolaire » a été attribué à l’établissement par l’ASBL Coren. Il récompense l’intégration progressive du développement durable dans l’enseignement et au niveau organisationnel ainsi que l’ouverture au monde extérieur au travers de partenariats, de synergies et de dynamiques de coopération.
L’école de demain
L’école organise notamment des projets artistiques réalisés au moyen de matériaux recyclés. L’établissement, qui attache une grande importance aux économies d’énergie, a également mis en place des urinoirs sans eau, un centre de tri et des composts. Ces activités orientées vers l’avenir soulignent la mentalité innovante des élèves et des enseignants de l’INDSé — à l’avenir, l’établissement souhaite également associer les parents à ses initiatives. Aux yeux de l’école, il est capital d’intégrer la dimension du développement durable dans la formation des jeunes, car l’impact sur le quotidien des générations à venir sera considérable. « Il est urgent d’amorcer un réel changement de mentalité », affirme Dominique Lambert, directeur adjoint. « Nous devons repenser notre modèle de consommation et de production, avec tous les effets pervers qu’il comporte. Pour y parvenir, rien de mieux que de commencer avec les jeunes. »