Philippine de Radiguès a obtenu son Master en Sciences économiques à finalité Business Economics en juin 2016 à la Solvay Brussels School Economics & Management (ULB). Elle est actuellement chercheuse associée au centre de recherche MOBI (VUB), spécialisé dans la mobilité et la logistique durable.
Louise Snoy a obtenu en août 2016 son Master en Ingénieur de gestion et CEMS à la Louvain School of Management (UCL). Elle a récemment travaillé dans une ONG vietnamienne et une ONG belgo-colombienne.
Camille Dassy a obtenu son Master en Communication appliquée spécialisée – Relations publiques à l’IHECS en mai 2016. Elle travaille actuellement à la Plate-forme européenne de micro-finance e-MFP à Luxembourg.
Laurence Vandenhoeke a obtenu son Master en Gestion de l’Entreprise à l’ICHEC en juin 2016. Elle travaille actuellement dans un accélérateur de startups au Grand-Duché du Luxembourg.
Le sol et le sous-sol de la République démocratique du Congo (RDC) abritent près de cinquante minerais différents en quantités gigantesques, ce qui devrait assurer sa richesse. Paradoxalement, ce pays est l'un des plus pauvres au monde. Souvent qualifiée de scandaleuse, cette situation a trouvé une ébauche de solution, il y a une dizaine d'années, avec la volonté des autorités congolaises, soutenues par la Banque mondiale, de réformer le secteur minier.
Anuarite Bashizi est licenciée en Économie rurale à l'Université catholique de Bukavu (RDC). Elle a collaboré à plusieurs travaux de recherche scientifique en matière de développement et coopération. En septembre 2015, elle a entamé un Master complémentaire en Sciences politiques et sociales/Développement, Environnement et Société à l'UCL. Elle est actuellement plongée dans une thèse doctorale au Centre d’Étude du Développement de l'UCL.
Le regain d'intérêt pour la bière artisanale, puissant vecteur d'une redistribution plus équitable de la richesse produite.
Le regain d'intérêt pour les bières "anciennes" entraîne, depuis quelques années, la création d'un nombre croissant de brasseries artisanales en Belgique. La plupart sont constituées sous la forme de PME ou de TPE familiales. Louise Lambert a cherché à savoir comment les différentes parties prenantes de ces micro entreprises (consommateurs, travailleurs, actionnaires, État...) bénéficient - ou non - des gains de productivité dégagés, en les comparant avec une brasserie multinationale.
Louise Lambert a obtenu son Master en Sciences économiques en 2015 à l'UCL. Elle a étudié à Dublin et à Bogota. Elle est titulaire du Certificat en Éthique économique et sociale de la Chaire Hoover (UCL). Elle est engagée dans divers mouvements sociaux et étudiants. Elle alterne actuellement voyages et collaborations dans des ONG en Asie.
Grâce à leur implication dans les potagers urbains, les citoyens réinvestissent la sphère économique et réinterrogent les modes de régulation de nos sociétés.
Les potagers urbains, en Belgique, sont en plein essor. La Région bruxelloise en compte près de 200. Parallèlement, la notion de "communs", proposée par Elinor Ostrom (prix Nobel d'économie, 2009), s'est considérablement développée ces dernières années. Elle désigne une série de pratiques dont le mode de gouvernance ne ressemble ni à l’État, ni aux règles du marché. Clarisse Van Tichelen a voulu savoir si, à la lueur de cette notion, les potagers collectifs s'avèrent des outils efficaces vers une transition sociale et écologique. Le mode de gestion de 42 potagers a été analysé.